Une réponse au droit commun : la justice restaurative.
Une solution de satisfaction pour les victimes, les auteurs et la société toute entière par :
- la mise en perspective de la victime et de l’auteur
(reconnaissance pour autoriser une parole commune, désir de réparation du préjudice constaté), - La vérité, la communauté reconstituée non de manière factuelle mais narrative
(intelligibilité du mal), - Un échange partenarial qui incite à une autre justice, qui consiste à réinscrire la prison dans la continuité de la vie collective et fait que tout contact n’aura été perdu.
Pour prendre connaissance du résumé de ses propos :